Un ouvrage hautement intelligent que l’on vous presse de lire.

Son livre est didactique et à conseiller en particulier à des lecteurs qui découvrent les enjeux de la décroissance.

Honnêtement, j’ai dévoré Rapailler nos territoires !

Un essai courageux, allant à fond dans la critique d’un milieu toujours très puissant, quoi qu’on en dise, et en général plutôt rébarbatif à l’idée de se remettre en cause.

Un ouvrage que j’ai dévoré, du début à la fin !

Il y a deux mondes parallèles qui ne se touchent plus, qui ne se parlent plus. […] Ça nous prend des « colons 2.0 », ça nous prend la mixité sociale.

On courtise [les ruraux] seulement lorsqu’il y a des élections, et pourtant, il y a des drames qui se jouent. Des drames sociaux, des drames environnementaux…

Dans un essai vibrant et accessible, Stéphane Gendron livre un plaidoyer pour une nouvelle ruralité du XXIe siècle.

Planète en ébullition sonde aussi les résonances des notions de violence, de désobéissance et de responsabilité civique et politique avec l’actualité la plus brulante.

À la prison Leclerc, il n’y eut pas seulement des suicides. Il y a eu des morts naturelles qui n’étaient pas des morts naturelles : c’était de la négligence médicale.

Une véritable encyclopédie très à jour du changement social.

[Les derniers suicides] concernent des personnes qui ont été laissées seules […] il y avait des signes avant-coureurs, mais elles ont été laissées seules pareil.

Les OGM ne sont pas une solution pour un meilleur rendement des semences. Il faut plutôt faire confiance au savoir-faire traditionnel de ceux qui cultivent la terre.

Planète en ébullition : s’adresser à la raison mais aussi à la sensibilité, car les hommes ne sont pas de purs automates doués de raison.

Un livre qui m’a vraiment donné froid dans le dos.

Nous priver de liberté, c’est une chose. Nous faire vivre psychologiquement une telle descente aux enfers, c’en est une autre.

C’est insoutenable quand tu vois la détresse psychologique qu’on peut avoir par rapport à l’insalubrité, par rapport à tout ce qui se passe là-bas.

Il y a des femmes qui n’en peuvent plus et qui posent des gestes irréparables.

Un ouvrage mondialement connu qui vient enfin d’être traduit en français.

Je plaide [pour] qu’on fasse entrer dans l’espace public des idées qui ne sont pas les nôtres pour l’instant, mais qui vont nous mener plus loin.

Les barbares numériques : résister à l’invasion des GAFAM n’a rien d’alarmiste. Il fait plutôt un portrait lucide de l’état de lieux qui n’a rien de réjouissant pour la démocratie.

Il y a des limites à la punition : on a des droits.

Un essai assez percutant, très éclairant, qui m’a beaucoup plu ! […] J’espère que les gens vont se garrocher chez leurs libraires.

Cet essai lance finalement un appel au dialogue entre militants et militantes […] Un livre lucide.

Moi je dis que les militants qui sont porteurs d’idées plus robustes, plus costaudes, plus radicales, doivent aller les présenter sur la place publique.

Pour obtenir des résultats qu’on n’a jamais eu, il faut faire des choses qu’on n’a jamais faites.

Un livre important

C’est intéressant […] vous nous dites aussi que les idées radicales d’hier font partie de nos vies aujourd’hui

Un essai vraiment extraordinaire !

Un formidable essai d’Olivier Ducharme [qui] a eu la bonne idée de passer au crible l’actualité de l’année 1972.

La collision des récits est un ouvrage très intéressant !

Cet ouvrage est incontestablement nécessaire

Pas besoin d’être spécialiste […] pour apprécier cet essai […] documenté et limpide, qui souhaite interroger les raisons pour lesquelles le capitalisme fait barrière à l’écologie.

Une lecture passionnante et vivante, racontant la montée de Projet Montréal comme force politique, ses résultats et ses défis à venir.

Emmagasiner ce bagage historique laissé sur le bas-côté de l’histoire officielle […] pour enfin délivrer la vie des interdits du pouvoir qui l’étouffe.

Je crois que la population du Québec mérite un vrai ministère de l’Environnement.