Fabrice Nguena a diversifié la visibilité.

Il faut croire que la sociologue a touché une corde sensible. Le travail, souligne-t-elle, occupe une place centrale dans nos vies. Et s’il peut être une grande source d’épanouissement, il engendre aussi beaucoup de détresse.

Écrire l’histoire de la communauté afroqueer [et] lever l’ignorance sur l’existence des personnes afrodescendantes.

C’est un livre qui est écrit à l’intérieur de la communauté afroqueer, mais qui s’adresse aussi à l’extérieur.

Un ouvrage primordial !

Julia Posca nous rappelle que le « temps hors travail n’a jamais été dans les sociétés capitalistes un espace de parfaite liberté ».

Dans une langue simple mais pas simpliste, Emmanuelle Parent offre des pistes de réflexion et de solutions pour avoir une relation « saine » avec ces plateformes addictives.

Un livre passionnant !

J’ai dévoré les portraits d’AfroQueer. J’ai trouvé cela très inspirant. Ça fait du bien de décaler son regard pour admirer ces parcours de vie et d’engagement. C’est une grosse bouffée d’air et d’énergie offerte à tous les lecteurs et lectrices.

150 pages pour transformer votre terrain en aménagement écologique et comestible.

Afroqueer réunit 25 portraits de personnes confrontées à l’homophobie et à la transphobie qui ont retourné le rejet en projet. Un ouvrage qui déconstruit aussi les préjugés.

On se laisse happer par cette histoire d’un terrain vague situé en zone portuaire de Montréal.

Un coup de cœur.

Un livre brillant et combatif.

Emmanuelle Parent souligne que le problème n’est cependant pas réservé qu’aux jeunes, qui souhaitent eux-mêmes changer leurs habitudes, selon elle. Les parents aussi connaissent une dépendance à leurs téléphones.

Ce livre se lit comme un véritable guide pratique afin d’aider les jardiniers en herbe à composer avec cet « héritage toxique ».

Jardiner dans les ruines mêle facilité de lecture, approche concrète et pratique et explications scientifiques.

Laurent Castaignède met le doigt tout ce qui pourrait coincer [dans le virage à la voiture électrique].

Ce guide est une véritable mine d’informations.

Loin d’être alarmiste, [Emmanuelle Parent] aime les réseaux sociaux et a voulu savoir ce qui motive les jeunes à y passer tant de temps. Elle rappelle avec raison que l’arrivée de nouvelles technologies a toujours suscité la méfiance.

Comment régler le problème insidieux de la pollution plastique ? Paul Lavallée se met en quête de solutions.

Un livre très sympathique.

Un ouvrage essentiel qui rend audibles les vécus et les problématiques d’une population doublement discriminée.

Bien qu’Écosabotage ait l’intérêt d’alimenter le débat sur la nécessité de radicaliser la lutte écologique, son auteur lance surtout un appel à en découdre avec le capitalisme […].

Issue du domaine des communications, Emmanuelle Parent connaît bien la dynamique des jeunes sur les réseaux sociaux.

Un remarquable essai.

La proposition des auteurs, inspirée de récentes mobilisations en Suisse : un moratoire sur l’informatisation de l’école.

Sommes-nous dans une contre-révolution tranquille en santé ? Pour Anne Plourde […] il s’agit d’une contre-révolution déjà en cours mais qui se fait actuellement en vitesse grand V.

Je recommande à tous de se précipiter sur Jardiner dans les ruines, qui deviendra un livre de chevet et pas seulement pour les jardiniers, mais pour ceux qui sont préoccupés par l’environnement aussi.

Emmanuelle Parent est allée à la rencontre, dans le cadre de ses recherches, d’adolescents et leur a demandé l’utilisation qu’ils faisaient des réseaux sociaux.

Un auteur québécois [qui] donne une rare visibilité à cette communauté dite « afroqueer ».

Anne Plourde a énormément contribué à faire comprendre cette tendance du privé qui ressemble à ce que j’appellerais une contre-révolution