Un essai nécessaire au moment où le secteur de la santé tente — encore une fois — de se définir.

Le parcours à la fois sensible et satirique que nous propose ce recueil vient certainement raviver notre fibre militante.

Si les crises peuvent être un synonyme de rupture et de violence, […] L’autrice pose une nouvelle équation : celle de la compassion, de la solidarité et de la créativité.

Alexia Renard n’est pas moralisatrice, on ne sent pas le jugement derrière sa plume. Néanmoins, elle nous explique des concepts qui élargissent notre version du monde et nous met face à nos incohérences.

Ce livre donne des outils pour affronter les GAFAM et les utiliser de façon positive, c’est vraiment bien.

Un essai ambitieux et bien documenté qui incite à réfléchir sur l’avenir des régions rurales du Québec.

Inês est super, elle arriver à analyser l’écoanxiété comme un phénomène social […] et accompagne le jeune lecteur très concrètement pour recevoir les émotions négatives ou positives.

Des plumes acérées qui éclairent nos lanternes vacillantes.

L’aquarelle est une technique difficile que l’artiste mobilise ici avec talent et succès.

Une lecture vraiment intéressante. À travers un récit assez intime, Camille Toffoli contrecarre les stéréotypes des relations.

Alexia Renard démystifie tous des courants du végétarisme et du véganisme, mais c’est aussi un livre pour des cours de philosophie et d’univers social. Intéressant à lire !

Un livre très intéressant, qui pousse à la réflexion et qui est très bien documenté.

Une réflexion audacieuse.

[Le livre] a l’immense mérite de provoquer un recul sur le monde du travail pour poser les questions essentielles.

L’accumulation de mauvaises nouvelles joue sur notre moral, allant jusqu’à provoquer ce nouveau mal : l’écoanxiété. Qu’est-ce que je peux faire devant la catastrophe annoncée et l’inaction des principaux pollueurs ? Ce livre se veut une boîte à outils.

Ce bref manifeste rédigé par deux enseignants québécois, Eric Martin et Sébastien Mussi, on le saisit à pleines mains et on a peine à le lâcher.

Ouvrage essentiel pour ne pas se voiler la face devant ce qui pourrait advenir. 

Ce livre vous donnera les clés pour mieux gérer ce qui semble insurmontable […], sans plonger dans la paralysie devant les défis et les combats à mener.

Julia Posca nous invite à dépasser les lieux communs sur la réduction du temps de travail et propose une analyse pénétrante qui montre que pour changer notre rapport au travail, il sera nécessaire de transformer profondément l’organisation de la société et de l’économie dans lesquelles il s’enracine.

Un livre empreint d’« éco-espoir ».

Ce carnet de voyage graphique présente une série de rencontres qui témoignent des expériences issues d’un passé colonial, mais aussi de la résurgence des cultures et des langues autochtones.

Un essai implacable et très bien fouillé.

Posca plaide avec force — études convaincantes à l’appui — [et] nous donne des armes pour résister à ceux qui s’engraissent du travail des autres, au mépris de tout le reste, dans un sauve-qui-peut inhumain.

Clément de Gaulejac livre son ouvrage le plus militant. […] Un humour noir, des lignes épurées et des mots lapidaires.

Inês Lopes s’adresse d’abord aux jeunes, mais nous rejoint tous et toutes. [Elle] nous aide à gérer l’éco-écoeurantite et les stratégies d’action, d’acceptation, d’évitement et d’acharnement (le pire pour la santé mentale).

Laurent Castaignède passe au tamis les promesses de la voiture électrique. Le tableau n’est pas si enchanteur

Avec éloquence et une dose d’espoir, l’auteur brosse le portrait d’une réalité néocolonialiste inacceptable afin de la faire sortir de l’ombre.

Parce que moins de 10% du plastique produit peut être recyclé, l’auteur propose des solutions.

On pensait connaître les grandes lignes concernant la Fonderie Horne, […] Pierre Céré nous amène à comprendre l’envergure tentaculaire du principal responsable : Glencore. 

Un guide d’accompagnement pour passer à travers l’écoanxiété, pas pour la combattre à tout prix, mais pour mieux la vivre. […] J’adore ça.

Une réflexion très intéressante sur la durée du travail, mais surtout sur le but et les objectifs du travail.