Alain Roy démonte les discours qui ont banalisé un imaginaire décliniste et islamophobe et montre leur absence de cohérence interne et la dangerosité de leurs implications.

Inês Lopes propose aux jeunes de 15 à 19 ans une foule de stratégies afin de puiser dans l’écoanxiété un super carburant pour se lever le matin.

Éric Martin et Sébastien Mussi apportent leur contribution à la critique du tout numérique, entre constat clinique et réflexion sur le sens de l’existence.

Résister et fleurir donne envie de sortir la binette et le semoir, mais aussi la faucille et le marteau pour sillonner la terre en se rappelant, avec Chico Mendes, que l’écologie sans la lutte des classes, c’est du jardinage.

Ces nombreuses pistes de réflexion sont exemptes de jugement et proposent une nouvelle façon de consommer, sans virer l’entièreté de notre assiette.

Ce livre démontre à quel point ces entreprises sont devenues indispensables, mais les gouvernements doivent les encadrer et agir contre leur mainmise.

Un livre pour repenser le rapport au travail.

L’imposant ouvrage, composé de vingt essais brefs, mérite toute notre attention.

Ce petit essai détricote et scrute à la loupe ce que sont et font les GAFAM. Histoire de les utiliser avec lucidité et en ayant toutes les clefs en main.

L’autrice décortique tout ça,croisant réflexions, témoignages et expérience personnelle dans un texte court et percutant, véritable invitation à explorer nos relations amicales !

Lecture précieuse, particulièrement pour les plus jeunes.

Plan de conversion à l’appui, l’ouvrage montre comment le bioplastique, même s’il a généralement mauvaise presse, ouvre véritablement un avenir beaucoup plus sain pour l’environnement et le vivant.

Un livre qui s’adresse spécifiquement aux adolescents et aux adultes qui gravitent autour d’eux.

Si le constat fait par La nature de l’injustice est désolant, ce livre comporte aussi des solutions.

Un livre qui soulève un débat mondial, et chez nous !

En tempérant ces promesses écologiques, l’ingénieur français Laurent Castaignède explore les angles morts de l’électrification automobile dans le troisième essai qu’il consacre à la mobilité et aux transports.

Une lecture qui provoque une réflexion en profondeur sur notre société actuelle.

Je pense que c’est le meilleur livre sur la voiture électrique que j’ai lu dans la dernière décennie. Courez le lire.

Laurent Castaignède pose la question de savoir si le carburant est un produit de première nécessité. 

Source de réflexions, c’est le moins qu’on puisse dire !

Un flamboyant réquisitoire contre le libéralisme économique qui avale tout de nos vies.

Un rapport minutieux des faits et de la déresponsabilisation des différents acteurs du [scandale de la Fonderie Horne]. Refusant de reconduire le silence, Pierre Céré lève le voile sur une situation inacceptable.

Un ouvrage éclairant qui remet en perspective l’impact de nos choix.

Alain Roy avance méthodiquement. Décortique les argumentaires des [déclinistes]. Critique leur intolérance. Leur mauvaise foi. Leurs raccourcis intellectuels. Leurs faiblesses réflexives.

L’humour dans la façon dont l’artiste explique les événements et l’introspection […] apportent un peu de légèreté à une actualité qui, bien souvent, est déprimante d’inégalités et de discrimination.

Samy Manga compose un livre exalté, [avec] une écriture poétique forte […] sans jamais dérougir d’une conscientisation fondamentale à la lutte contre l’envahisseur.

Un album qui nous ramène dans les mouvements citoyens, vers les rêves, les utopies et les moyens qu’on peut mettre en œuvre pour en faire des réalités […] À découvrir.

Afin de réduire les effets de l’écoanxiété, [Inês Lopes] propose des outils reconnus qui, sans incarner des solutions magiques, peuvent apporter un apaisement, voire susciter un désir de s’engager dans la cause environnementale.

Les conséquences sur la santé et sur l’environnement avaient déjà été documentées dans le passé […] Pierre Céré se demande pourquoi rien n’a changé depuis.

Ça m’amène un élan d’espoir.

Les Bilodeau-Cochrane ont pris goût à découenner la terre et à passer la grelinette. Emmanuel ne jure que par Marie Thévard (Le jardin vivrier), sa nouvelle gourou.