Il y a même quelque chose là du chapitre d’une histoire dont on se prend à rêver, pour le Québec. Une histoire engagée et, surtout, capable de fournir son propre « roman national ».

Un formidable essai d’Olivier Ducharme [qui] a eu la bonne idée de passer au crible l’actualité de l’année 1972.

Emmagasiner ce bagage historique laissé sur le bas-côté de l’histoire officielle […] pour enfin délivrer la vie des interdits du pouvoir qui l’étouffe.

Ville contre automobiles nous invite à rien de moins qu’à nous débarrasser de l’automobile.

Ce qui est fascinant dans le parcours historique présenté par Olivier Ducharme, c’est à quel point aucune promesse pour régler le trafic n’a fonctionné.

Dans la ville de demain, la voiture n’aura pas lieu d’être. Pour vous en convaincre Olivier Ducharme [remet] les pendules à l’heure avec cet essai courageux et lucide.

Dans un ouvrage facile d’accès et riche, le philosophe Olivier Ducharme met le doigt sur les contradictions indépassables entre espaces urbains et automobile.

L’auteur réussit à la fois à montrer le tort immense que cause l’automobile et le bien que son absence procurerait.

On coupe pour avoir plus de béton qui, à long terme, n’est pas bon pour la santé humaine, en plus du stress et du bruit liés à la voiture.

Vous allez voir, c’est vraiment intéressant, et c’est une réflexion qui reste par la suite, sur notre rapport à la machine et sur notre place dans la cité…

La lecture de cet essai m’apparaît incontournable.

On dépense plus pour la voiture que pour se nourrir. Ce n’est pas qu’une question financière, mais de transition écologique.

Olivier Ducharme donne un sens actuel à une part sous-estimée de l’oeuvre de Pierre Perrault.