L’une des réussites du livre est de rendre concrets certains enseignements autochtones qui peuvent autrement sembler mystiques pour les non-initiés […] La roue de médecine permet une compréhension ancrée dans les actions des gens dans le soin de la nature et vice-versa.

« Au même titre que l’humain est coupé de la terre, l’écologie est coupée de », écrit Jennifer Grenz. Elle fait remarquer que c’est peut-être ce qui nuit à la transition écologique : que tout un chacun ne se sent pas vraiment concerné.

Jennifer Grenz a entrepris de réconcilier les deux mondes, la rigueur scientifique occidentale et la vision spirituelle autochtone, et c’est ce que je trouve vraiment intéressant.

Ce que Jennifer Grenz souhaite transmettre au-delà de la science, c’est une manière d’être au monde.

Une guérison par le territoire, une guérison du territoire. Extrêmement inspirant.