Très intéressant.

Un essai [qui] plaide en faveur d’une vaste remise en question du tourisme, en cette époque de crise politique et environnementale.

Avec son nouvel essai-choc, [Rodolphe Christin] soulève des questions urgentes et nécessaires, d’ordre à la fois sociologique et philosophique. […] comment réfléchir le voyage dans un contexte de crises climatique et sociale ? Un essai qui fait aussi réfléchir sur nos responsabilités individuelles.

La réflexion de Rodolphe Christin est d’ordre sociologique, philosophique non point moral. Cela nous permet de bien comprendre le phénomène sans (trop) se sentir coupable personnellement…

…le véritable voyage mis en avant par Rodolphe Cristin est celui capable de se confronter à l’inconnu, à l’inattendu pour sortir de son quotidien hyperconnecté.

L’époque de la « servitude volontaire » et de la société de contrôle par le travail s’achève. Bonne nouvelle !

Le pamphlétaire reproche à ce tourisme sur mesure de mettre la planète « sous scellés », de vampiriser territoires, cultures, villes et villages.

Plutôt que de chercher sans cesse à aménager le travail pour le faire perdurer, les quatre auteurs invitent à « penser contre le travail ».

Le travail pour tous étant un leurre, comment se ​“désendoctriner” ?