C’est un formidable concentré de l’ordinaire des jours quand ils ne sont pas faciles et, chose rare, c’est raconté de la bonne façon.

Cet essai se lit comme un roman, il est écrit dans une langue vivante, teintée d’humour et remplie d’humanité.

Ce livre est le point culminant de toute une carrière passée à combattre les préjugés qui entourent les personnes au chômage. 

[L’engagement de Pierre Céré] se vérifie une fois de plus ici, par la rigueur avec laquelle il réalise l’enquête à la base de son livre.

En lisant l’enquête Voyage au bout de la mine, on comprend comment les travailleurs, les gouvernements et la population se font manipuler depuis des années.

On pensait connaître les grandes lignes concernant la Fonderie Horne, […] Pierre Céré nous amène à comprendre l’envergure tentaculaire du principal responsable : Glencore. 

Un rapport minutieux des faits et de la déresponsabilisation des différents acteurs du [scandale de la Fonderie Horne]. Refusant de reconduire le silence, Pierre Céré lève le voile sur une situation inacceptable.

Les conséquences sur la santé et sur l’environnement avaient déjà été documentées dans le passé […] Pierre Céré se demande pourquoi rien n’a changé depuis.

Un livre important pour comprendre comment une compagnie peut détruire un environnement, contrôler une population, recevoir les faveurs des gouvernements et ne jamais subir les conséquences de toute cette destruction.

Ce voyage au bout de la mine, au cœur d’une région affectée par cent ans de pollution, est fascinant et, je vous préviens, il peut même occasionner des haut-le-cœur, tant les injustices sont révoltantes.

Une enquête historique.

Malgré le dossier noir qu’il présente sur cette multinationale ayant donné naissance à sa ville, Pierre Céré ne perd pas espoir de changer la donne.

Il faut lire le livre de Pierre Céré. […] son livre s’appuie sur des faits. Il est mauditement convaincant. Et révoltant.

Un livre très attendu.

Il y a des données là-dedans qui sont effarantes.

La fonderie Horne a utilisé le lac Osisko comme si c’était sa poubelle.