Écrit en 1994, son ouvrage constitue un guide essentiel pour ceux qui s’aventurent dans le compostage de leurs excréments, croit André Leguerrier, qui a signé la préface de la version française publiée récemment.
Beaucoup de personnes se lèvent le matin en se demandant quel est le sens de tout ça. On travaille huit heures par jour, quarante heures par semaine, la société est en déclin, l’économie dysfonctionnelle, les réserves de pétrole diminuent… On se demande ce qu’il faut faire.
À l’occasion du lancement du Dictionnaire historique du Plateau Mont-Royal aux Éditions Écosociété, on a décidé d’en savoir plus sur le fameux quartier français de Montréal: Le Plateau. On en parle souvent sans en savoir grand chose. Quelle est son histoire? Pourquoi les Français y vivent? Quel est le secret de son nom?
À la fin du mois, les Éditions Écosociété lanceront le premier Dictionnaire historique du Plateau Mont-Royal, un ouvrage inédit d’histoire locale.
Spécialisée dans les livres d’idées, la petite maison d’édition montréalaise s’aventure en terrain inconnu en ouvrant sa 25e saison avec la publication d’un ouvrage de type encyclopédique consacré à l’histoire d’un quartier phare dont la riche histoire est souvent méconnue.
L’auteur n’est pas tendre à l’égard d’une industrie qui profite de ce mégabrassage géographique. En plus des tonnes de GES générées par les gros-porteurs, le pamphlétaire reproche à ce tourisme sur mesure de mettre la planète « sous scellés », de vampiriser territoires, cultures, villes et villages dans des parcours « fléchés » qui ne laissent place ni au hasard ni à la rencontre.
Les libéraux prétendument sociaux ou soi-disant conservateurs, tous rangés sous la bannière totalitaire du « progrès », resteront toujours dans le même camp : celui de la néantisation de l’homme, désormais physiologiquement noyé dans les eaux glacées du technicisme nihiliste et mentalement consumé aux fourneaux de l’hédonisme matérialiste.
J’ai abouti à la conclusion que Total est une autorité souveraine d’un genre nouveau, capable de rivaliser avec des Etats et de générer un nouveau rapport à la loi.
La nécessité de la décroissance matérielle pour sauver l’humanité du naufrage écologique apparaît encore à beaucoup comme une conviction récente des plus radicaux défenseurs de la nature.
Total nous parle. C’est une société qui se paie de pleines pages de pub dans les journaux, une société dont les dirigeants s’expriment sur des sujets d’ordres diplomatique, climatique… Et qui ne cessent de répéter que ce qu’ils font est « légal », même lorsque ce qu’ils font choque la conscience commune.
Finalement, Mme Maillé explique que l'idée maîtresse qui se dégage derrière le livre, c'est de dire qu'il faut penser au développement de nos territoires en inclusion et en collaboration avec les communautés qui les habitent et que les gens ont leur mot à dire sur la façon qu'on développe leurs territoires et sur les projets ici au Québec.